Ce cours donne les repères fondamentaux en économie de l’environnement pour appliquer les principes et les concepts économiques aux politiques publiques d’environnement. Après avoir rappelé les fondements de l’économie de l’environnement, une spécialité partagée entre trois approches d’inégale influence (section 1), le premier chapitre analyse les principaux enjeux philosophiques de l’analyse économique de l’environnement (section 2). Le second chapitre se consacre à l’approche économique dominante de l’environnement pour montrer qu’il s’agit d’une construction "dé-socialisée" et "dé-naturalisée" des rapports économie/environnement. Après avoir exposé le cadre néoclassique d’analyse des problèmes de pollution comme des phénomènes d’externalités négatives empêchant la realisation d’un optimum de Pareto (section 1), le cours examine l’optimum de pollution et les méthodes d’internalisation qui en découlent (section 2). Enfin, le cours revient sur les différentes méthodes d’évaluation monétaires des biens environnementaux proposes par la théorie standard (section 3). Il s’efforce à la fois de développer la pensée critique et d’étendre les capacités analytiques de raisonnement des étudiant.e.s.
Si l’intervention publique en matière économique correspond à une véritable tradition française, l’intervention économique des collectivités territoriales a été longtemps considérée avec méfiance. Toutefois, les collectivités territoriales constituent désormais des acteurs incontournables en matière d’action économique. On assiste depuis près de trois décennies au développement continu de ce qu’il est devenu banal d’appeler « l’interventionnisme économique local ». Néanmoins, si l’on ne peut que constater l’affirmation croissante des collectivités dans le champ économique, l’extension de leurs compétences en la matière se heurte toujours à un certain nombre de limites : le respect de la liberté du commerce et de l'industrie et du droit de la concurrence.
Après avoir envisagé la dimension européenne des politiques sociales, ce cours analyse les points communs et divergences entre systèmes nationaux de protection sociale à l'échelle de l'UE.
Ce cours vise à former les étudiants aux enjeux sociaux de la transition socioécologique.
Economique du DD et territoire

En matière de développement durable toute exhaustivité étant hors de portée, ce cours d’intro à l'économie du DD, donne quelques coups de projecteur sur les conditions d’émergence de la notion au plan international, les débats et controverses qui animent la notion et certaines dimensions essentielles de l’exigence de « durabilité ». Adopter une triple lecture, à la fois historique, analytique et typologique, paraît incontournable pour qualifier cet objet complexe.

Dans un premier temps, le cours propose une brève histoire de la pensée économique au regard des enjeux de la croissance et ceux du développement et sa manière de concevoir les rapports Homme/Nature. Partant, le cours revient sur le cadre théorique de l'économie traditionnelle de l'environnement et des RN avant d'aborder les critiques radicales tant de la technoscience que de l'idéologie de la croissance sans limites et les apports de l'économie écologique. Ce sera l’occasion de revenir sur les principaux débats qui sont à l’origine du développement durable , pour revenir ensuite au contexte géopolitique international qui a mené à la formulation et à la reconnaissance institutionnelle de ce concept sur la scène politique internationale . Le cours montre enfin que, loin d’être définitivement clos, les débats sur le contenu qu’il convient de donner au développement durable font encore rage aujourd’hui, notamment entre les tenants de la soutenabilité dite « faible» et ceux de la soutenabilité « forte ».
Enquêter de manière symétrique les relations entre humains et non-humains depuis les jardins et parcelles agricoles ; l’enquête est ici envisagée comme une manière d’appréhender les problèmes rencontrés par ces collectifs hybrides, leur manière d’y répondre, et d’en rendre compte au travers des comptes-rendus publicisés ; les résultats de la mesure d’activité biologique du sol sont partagés avec le réseau PartiCitaE de Participation Citadine à l’observation de l’Environnement dans une démarche de science participative.
La comptabilité est un outil d’information qui collecte, classe, traite et communique des informa-tions financières sur les transactions économiques. Elle a pour principal objectif d’informer les par-ties prenantes internes et externes de la santé financière de l’entreprise.

Si les structures de l’ESS possèdent leurs propres spécificités comptables, il convient avant tout de bien maîtriser les fondamentaux de la comptabilité générale, d’où l’intérêt dans ce cours de revenir sur les bases comptables (compréhension des principes comptables, apprentissage des écritures comptables, élaboration et analyse des principaux documents comptables…)

La finalité du cours est de faire comprendre aux étudiants l’importance d’une bonne gestion des données comptables pour un pilotage optimisé de l’entreprise.
Cours : CM de Contrats, marchés et achats publics
Public : Master 1 MPT (AES)
Enseignant : Clément ROUILLIER
Année universitaire 2023/2024
Le cours de droit de l'environnement a pour objet la présentation des principales dispositions juridiques (législatives et réglementaires) mises en oeuvre pour assurer la protection et, le cas échéant, la restauration de la biodiversité et des écosystèmes. Le cours est réparti entre une présentation magistrale de la discipline et des travaux dirigés.
CM de droit de l'intercommunalité en M1 géographie, option ACT
Année universitaire 2023 / 2024
Enseignant : Clément ROUILLIER
La formation professionnelle tout au long de la vie constitue une obligation nationale (art. L6111.1 code du travail). Le droit qui s'y attache décline et encadre les dispositifs répondant à cette obligation. Le cours se propose d'identifier les acteurs de la formation professionnelle. Il envisage ensuite les modalités de la formation initiale, puis celles afférentes à la formation professionnelle dite continue.
Ce cours donne les repères fondamentaux en économie de l’environnement pour appliquer les principes et les concepts économiques aux politiques publiques d’environnement. Après avoir rappelé les fondements de l’économie de l’environnement, une spécialité partagée entre trois approches d’inégale influence (section 1), le premier chapitre analyse les principaux enjeux philosophiques de l’analyse économique de l’environnement (section 2). Partant, le cours revient sur le cadre théorique de l'économie traditionnelle de l'environnement et des RN avant d'aborder les critiques radicales tant de la technoscience que de l'idéologie de la croissance sans limites et les apports de l'économie écologique. Le second chapitre se consacre à l’approche économique dominante de l’environnement pour montrer qu’il s’agit d’une construction "dé-socialisée" et "dé-naturalisée" des rapports économie/environnement. Après avoir exposé le cadre néoclassique d’analyse des problèmes de pollution comme des phénomènes d’externalités négatives empêchant la realisation d’un optimum de Pareto (section 1), le cours examine l’optimum de pollution et les méthodes d’internalisation qui en découlent (section 2). Enfin, le cours revient sur les différentes méthodes d’évaluation monétaires des biens environnementaux proposées par la théorie standard (section 3). Il s’efforce à la fois de développer la pensée critique et d’étendre les capacités analytiques de raisonnement des étudiant.e.s.
Le mot « réseau » renvoie traditionnellement à la notion de maillage. Si cette notion existait déjà au Moyen Âge, elle s’est démocratisée au 19ème siècle avec l’essor de l’économie spatiale, si bien qu’elle est aujourd’hui mobilisée dans de nombreuses disciplines : géographie, biologie, sociologie, gestion…

En forte croissance depuis plusieurs années, le secteur de l’ESS a vu émerger de nombreux réseaux sur son (ses) territoire(s). Qu’il s’agisse de promouvoir, structurer ou fédérer, les réseaux de l’ESS font aujourd’hui partie intégrante d’un paysage économique qui se doit de répondre à des problématiques sociétales nouvelles.

Le cours s’attache ainsi à répondre aux questions suivantes :
Quelle est la raison d’être de ces réseaux ? Comment fonctionnent-ils ? Quelles sont leurs forces et faiblesses ? Comment interagissent-ils entre eux, et comment agissent-ils sur la scène européenne ?
Cet enseignement du Master ESS vise à comprendre les interactions stratégiques entre les acteurs de l'ESS et leur(s) territoire(s). Le cours s'appuie sur des analyses en sciences sociales des Tiers-Lieux, des PTCE, et des dynamiques territoriales et financières des modèles de développement soutenable local.
Introduction aux organisations et réseaux des finances solidaires
Comprendre et connaître l'histoire de l'ESS et de ses organisations de la seconde guerre mondiale à nos jours.
Espace du cours Indicateurs territorialisés de transition sociétale assuré par Michel Renault
Cet espace permet aux étudiant.es de découvrir des travaux de pré-mémoires pour le parcours FIGES du M1ESS
Ce cours propose une lecture sociologique de l’ancrage territorial des phénomènes économiques. Partant de l’idée d’acteurs (individuels ou collectifs) socialement interdépendants, nous comprendrons le territoire comme un ensemble de réseaux (professionnels, personnels, d’entreprises) interconnectés. Le cours magistral introduira au raisonnement et aux outils méthodologiques de la sociologie des réseaux. Les TD permettent d’approfondir cette démarche par l’étude de réseaux concrets, ancrés sur le territoire, leur effet sur ce dernier et sur la mobilité des personnes et des entreprises.

Le cours prolonge celui d’introduction à la sociologie des organisations, dispensé dans le cadre de la Licence 3 AES, en ouvrant la perspective vers la sociologie économique.
Espace consacré à la méthodologie de la recherche et au rendu du mémoire en M1 Management public