Ce cours magistral est une introduction à l’analyse de l’image fixe en insistant sur les paramètres techniques. L’analyse devra toujours commencer par l’étude des signes plastiques et/ou iconiques de l’image avant d’établir un discours interprétatif sur l’image. Il est entendu que l’expression « image fixe », forcément réductrice, trouvera une limite à travers des exemples qui trahissent l’expression d’un mouvement ou d’une temporalité devant l’apparente fixité de l’image.
La première partie du cours interroge la représentation comme l’action de rendre sensible quelque chose au moyen d’une figure, d’un symbole, d’un signe (mimésis, analogie, illusions perceptives…). La deuxième partie du cours s’intéresse à l’image comme un dispositif répondant à certains paramètres (cadre, champ, support ; composition, point de vue ; lumière, couleurs…). Enfin, le cours aborde dans une troisième partie les relations que peuvent entretenir la peinture avec la photographie (l’image et ses métissages).
En prenant appui sur le modèle de l’atlas « Mnémosyne » établi par l’historien de l’art Aby Warburg, chaque séance fera l’objet d’un focus particulier sur un ou plusieurs thèmes à travers la présentation d’un ensemble d’images fixes de natures, d’origines et d’époques variées (peinture, dessin, photographie, publicité, photogramme). L’échange qui suit est destiné à essayer de comprendre en quoi ces documents constituent un ensemble cohérent (sur le plan thématique, technique, plastique...). Ensuite, le cours prend la forme d’une analyse transversale des documents, chacun éclairant, au moins partiellement, les documents voisins. L’ambition du cours est certes de fixer quelques repères historiques, mais aussi d’apprendre à rechercher, trier, manipuler et analyser les images artistiques (ou non). Au début du semestre, un cahier iconographique est transmis aux étudiants : ces images feront l’objet d’une analyse plus poussée au cours du semestre et seront susceptibles de donner lieu à quelques questions lors des examens.
La première partie du cours interroge la représentation comme l’action de rendre sensible quelque chose au moyen d’une figure, d’un symbole, d’un signe (mimésis, analogie, illusions perceptives…). La deuxième partie du cours s’intéresse à l’image comme un dispositif répondant à certains paramètres (cadre, champ, support ; composition, point de vue ; lumière, couleurs…). Enfin, le cours aborde dans une troisième partie les relations que peuvent entretenir la peinture avec la photographie (l’image et ses métissages).
En prenant appui sur le modèle de l’atlas « Mnémosyne » établi par l’historien de l’art Aby Warburg, chaque séance fera l’objet d’un focus particulier sur un ou plusieurs thèmes à travers la présentation d’un ensemble d’images fixes de natures, d’origines et d’époques variées (peinture, dessin, photographie, publicité, photogramme). L’échange qui suit est destiné à essayer de comprendre en quoi ces documents constituent un ensemble cohérent (sur le plan thématique, technique, plastique...). Ensuite, le cours prend la forme d’une analyse transversale des documents, chacun éclairant, au moins partiellement, les documents voisins. L’ambition du cours est certes de fixer quelques repères historiques, mais aussi d’apprendre à rechercher, trier, manipuler et analyser les images artistiques (ou non). Au début du semestre, un cahier iconographique est transmis aux étudiants : ces images feront l’objet d’une analyse plus poussée au cours du semestre et seront susceptibles de donner lieu à quelques questions lors des examens.
- Enseignant: Benjamin Leon