
- Profesor: Dario Alparone
- Profesor: Lucas Demay
- Profesor: Gwenola Druel
- Profesor: Lyasmine Kessaci
- Profesor: Giorgia Tiscini
Cet enseignement d’ouverture est proposé par plusieurs enseignants-chercheurs de divers départements de l’université Rennes2, pour croisés leurs « regards » leurs recherches sur la maladie mentale. Si le cours est porté par le département de psychologie et plus particulièrement les enseignants chercheurs du laboratoire RPPsy : Psychopathologie clinique et psychanalyse. Nous avons conçu cet enseignement en étroite collaboration avec des enseignants chercheurs du département d’histoire de l’art et du département de Lettres ; les interventions des uns et des autres courants sur le premier et deuxième semestre, puisque cette UEO est construite sur deux semestres et propose des interventions différentes au S5 et au S6 (autre espace cursus) et on peut s'inscrire à chacun des semestres indépendamment.
Ce cours est utile à tout usage professionnel et personnel quant à la maladie psychique. Il prépare l’étudiant à une analyse de l’usage des signifiants dans son époque, du lien social dans lequel il est, des usages de sa civilisation et de leurs malaises. Entre culture générale et analyse des discours et des pratiques du siècle auquel il participe.
Pour ce premier semestre : cette UEO ouvre une réflexion non seulement sur une approche historique de la maladie psychique (mentale) et des pratiques de soins, sur la psychose sur le lien entre la création littéraire et la mélancolie, le lien entre le maladie psychique dans l’art et la fiction ; mais aussi une initiation aux débats actuels dans le champ du psychique : sur la dépression, sur le didact du sport, la théorie du bonheur et du bien être, sur l'empire des coaches, sur à la maladie psychique .
Ce cours est utile à tout usage professionnel et personnel quant à la maladie psychique. Il prépare l’étudiant à une analyse de l’usage des signifiants dans son époque, du lien social dans lequel il est, des usages de sa civilisation et de leurs malaises. Entre culture générale et analyse des discours et des pratiques du siècle auquel il participe.
Pour ce premier semestre : cette UEO ouvre une réflexion non seulement sur une approche historique de la maladie psychique (mentale) et des pratiques de soins, sur la psychose sur le lien entre la création littéraire et la mélancolie, le lien entre le maladie psychique dans l’art et la fiction ; mais aussi une initiation aux débats actuels dans le champ du psychique : sur la dépression, sur le didact du sport, la théorie du bonheur et du bien être, sur l'empire des coaches, sur à la maladie psychique .
- Profesor: Laetitia Belle
- Profesor: Myriam Cherel
- Profesor: Mickael Peoc H
- Profesor: Francois Tremolieres
- Profesor: Camille Veit

- Profesor: Dario Alparone
- Profesor: Pierre Bert
- Profesor: David Monnier
- Profesor: Giorgia Tiscini
- Profesor: Yohan Trichet
L'UEO est composée de 2 enseignements
- Héros et dieux dans les mondes mondes grecs et romains
- Christianisme et nouveau monde à l'époque par moderne
- Profesor: Gaëlle Bosseman
- Profesor: Anne Gangloff
- Profesor: Solenn Mabo
CORPS ET GENRE
À la croisée de la sociologie du genre, du corps, du sport, de la culture, des apparences et de l’éducation, un premier axe explicite les processus d’une construction sociale plurielle des corps. Placer le corps au centre de ce cours sur le genre suppose de démêler la question des fondements biologiques et sociaux à l’origine des rapports de domination entre hommes et femmes. Les jeux de pouvoirs et leurs dissymétries seront mis en lumière dans une dimension à la fois matérielle, symbolique et relationnelle. Un deuxième axe, centré sur l’évolution des normes, des mentalités et des pratiques sexuelles, mobilise des approches disciplinaires croisées (histoire, démographie, droit, sociologie, médecine) pour saisir les politiques sexuelles dans la France des XIXe et XXe siècles.
À la croisée de la sociologie du genre, du corps, du sport, de la culture, des apparences et de l’éducation, un premier axe explicite les processus d’une construction sociale plurielle des corps. Placer le corps au centre de ce cours sur le genre suppose de démêler la question des fondements biologiques et sociaux à l’origine des rapports de domination entre hommes et femmes. Les jeux de pouvoirs et leurs dissymétries seront mis en lumière dans une dimension à la fois matérielle, symbolique et relationnelle. Un deuxième axe, centré sur l’évolution des normes, des mentalités et des pratiques sexuelles, mobilise des approches disciplinaires croisées (histoire, démographie, droit, sociologie, médecine) pour saisir les politiques sexuelles dans la France des XIXe et XXe siècles.
- Profesor: Barbara Fontar
- Profesor: Gaelle Sempe Huard
- Profesor sin permiso de edición: Fabien Lostec
Cours Laurence Le Dû
Ce cours se situe dans la perspective d'une découverte d'un thème spécialisé dans une perspective pluri-disciplinaire. Il permettra de mener une réflexion sur les rapports entre les sociétés humaines et les animaux.
L'histoire de l’humanité est étroitement imbriquée à l’histoire des animaux, dans leur intimité génétique, leur répartition spatiale, leur impact environnemental, leur devenir. La réflexion proposée s’articule sur des études de cas concrets des entrées historiques, écologiques, économiques, sociales et culturelles, car les études animales au sens large interrogent notre rapport au monde, via l’alimentation et l'élevage en particulier.
L'exemple des abeilles servira de fil conducteur pour explorer ces interactions.
Ce cours se situe dans la perspective d'une découverte d'un thème spécialisé dans une perspective pluri-disciplinaire. Il permettra de mener une réflexion sur les rapports entre les sociétés humaines et les animaux.
L'histoire de l’humanité est étroitement imbriquée à l’histoire des animaux, dans leur intimité génétique, leur répartition spatiale, leur impact environnemental, leur devenir. La réflexion proposée s’articule sur des études de cas concrets des entrées historiques, écologiques, économiques, sociales et culturelles, car les études animales au sens large interrogent notre rapport au monde, via l’alimentation et l'élevage en particulier.
L'exemple des abeilles servira de fil conducteur pour explorer ces interactions.
- Profesor: Laurence Le Du
« Afrique ». Des forêts vierges, des montagnes majestueuses entourées de savane, des oasis luxuriantes, des plaines désertiques évoluant au rythme de la vie animale, des lions, des éléphants, des girafes et des rhinocéros qui règnent en maîtres sur la nature, loin de la civilisation. Nous avons tous ces images en tête. Il s’en dégage un sentiment d’éternité, une émotion rassurante face aux dégâts que cause partout ailleurs la modernité, la « nôtre ».
Mais cette Afrique n’existe pas. Elle n’a jamais existé et le problème, c’est que nous sommes convaincus du contraire. Plus la nature disparaît en Occident et plus nous la fantasmons en Afrique, comme en Asie. Plus nous détruisons la nature ici, et plus nous essayons de la sauver là-bas. Avec l’Unesco, le WWF (World Wildlife Fund) ou l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), nous croyons protéger les dernières traces d’un monde autrefois vierge et sauvage, en Afrique, en Asie et en Amérique latine. Mais en réalité, ces institutions organisent la naturalisation à marche forcée de toute une partie du monde : mettre des territoires en parc, y interdire l’agriculture, exclure les hommes, faire disparaître leurs champs et leurs pâturages pour créer un monde soi-disant naturel, où l’homme n’est pas.
Or, ce combat ne change absolument rien à la destruction de la biodiversité. Pire, ses effets sont désastreux pour tous les occupants de la nature. Déplacements forcés, amendes, peines de prison, déstructuration sociale, passages à tabac, parfois viols et même meurtres, telles sont les conséquences catastrophiques des politiques globales de protection de la nature.
En décryptant les mécanismes de ce colonialisme vert, ce cours vise alors trois objectifs :
• Acquérir des connaissances (inter)disciplinaires : (histoire) comprendre que l’idée de nature est le produit de temps qui s’accumulent ; (géographie) envisager la nature comme une ressource, une représentation et un territoire de projet ; (science politique) appréhender les échelles locales, nationales et internationales des politiques globales ; (anthropologie) saisir au ras du sol les rapports sociaux à la nature ; (sociologie) éclairer le rôle des institutions internationales et de leurs experts.
• Développer des compétences : un travail sur article pour maîtriser l’anglais et mieux synthétiser ses connaissances à l’écrit ; un travail de groupe pour parfaire la restitution écrite et orale de savoirs empiriques et la mise en pratique écrite et orale d’acquis théoriques.
• Améliorer les chances de réussite en master : avec une réelle connaissance de territoires africains et asiatiques, et une capacité à appréhender socialement la crise écologique actuelle et sa (non-)résolution, les étudiant.e.s renforceront leur capacité à intégrer des Masters recherche (sur l’Afrique ou l’Asie) et professionnels (sur la Coopération internationale, le Développement, l’Environnement ou les Sciences politiques internationales).
Mais cette Afrique n’existe pas. Elle n’a jamais existé et le problème, c’est que nous sommes convaincus du contraire. Plus la nature disparaît en Occident et plus nous la fantasmons en Afrique, comme en Asie. Plus nous détruisons la nature ici, et plus nous essayons de la sauver là-bas. Avec l’Unesco, le WWF (World Wildlife Fund) ou l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), nous croyons protéger les dernières traces d’un monde autrefois vierge et sauvage, en Afrique, en Asie et en Amérique latine. Mais en réalité, ces institutions organisent la naturalisation à marche forcée de toute une partie du monde : mettre des territoires en parc, y interdire l’agriculture, exclure les hommes, faire disparaître leurs champs et leurs pâturages pour créer un monde soi-disant naturel, où l’homme n’est pas.
Or, ce combat ne change absolument rien à la destruction de la biodiversité. Pire, ses effets sont désastreux pour tous les occupants de la nature. Déplacements forcés, amendes, peines de prison, déstructuration sociale, passages à tabac, parfois viols et même meurtres, telles sont les conséquences catastrophiques des politiques globales de protection de la nature.
En décryptant les mécanismes de ce colonialisme vert, ce cours vise alors trois objectifs :
• Acquérir des connaissances (inter)disciplinaires : (histoire) comprendre que l’idée de nature est le produit de temps qui s’accumulent ; (géographie) envisager la nature comme une ressource, une représentation et un territoire de projet ; (science politique) appréhender les échelles locales, nationales et internationales des politiques globales ; (anthropologie) saisir au ras du sol les rapports sociaux à la nature ; (sociologie) éclairer le rôle des institutions internationales et de leurs experts.
• Développer des compétences : un travail sur article pour maîtriser l’anglais et mieux synthétiser ses connaissances à l’écrit ; un travail de groupe pour parfaire la restitution écrite et orale de savoirs empiriques et la mise en pratique écrite et orale d’acquis théoriques.
• Améliorer les chances de réussite en master : avec une réelle connaissance de territoires africains et asiatiques, et une capacité à appréhender socialement la crise écologique actuelle et sa (non-)résolution, les étudiant.e.s renforceront leur capacité à intégrer des Masters recherche (sur l’Afrique ou l’Asie) et professionnels (sur la Coopération internationale, le Développement, l’Environnement ou les Sciences politiques internationales).
- Profesor: Jonas Matheron
- Profesor: Johan Oszwald
Description du cours et objectifs :
Centrés sur la littérature et l’histoire de l’art, les enseignements sont organisés de manière à croiser les divers champs de connaissance relatifs aux mondes celtiques, tels que l’histoire de l’art celtique d’Europe continentale (Ve-Ier siècles av. J.-C.), de Grande-Bretagne et d’Irlande (Ve siècle av. J.-C. – Xe siècle ap. J.-C.), la littérature médiévale (XIIe-XIVe siècles) et ses possibles liens avec la culture celtique, les relectures celtisantes des textes médiévaux (XIXe-XXIe siècles), la littérature bretonne et ses rapports avec les autres littératures celtiques (XIVe-XXIe siècles).
Dans le cadre de la pluridisciplinarité de ces enseignements, les Celtes de l’antiquité, les civilisations de langue celtique, les littératures médiévales continentale et insulaire sont analysés dans un cadre chronologique, géographique et conceptuel précis. Les aspects méthodologiques des champs disciplinaires abordés - histoire de l’art et littérature - et les spécificités des différentes périodes - antiquité, Moyen Age, époques moderne et contemporaine - contribuent au développement de l’esprit critique. Les compétences visées sont l’acquisition progressive d’une bonne connaissance des œuvres majeures et des mouvements littéraires et artistiques dont celles-ci sont issues.
Grâce à la mise en commun des méthodes de travail propres à l’histoire de l’art et à la littérature, l’acquisition des connaissances se trouve facilitée par la transversalité des recherches relatives aux mondes celtiques.
L’objectif des cours est de permettre aux étudiants.es qui s’intéressent aux Celtes, quelle que soit leur formation, de développer leur culture générale en analysant textes et images dans leur contexte historique, idéologique, linguistique, culturel.
L’évaluation portera sur l’ensemble du cours et prendra la forme d’un QCM et d’un test de connaissance exigeant des réponses rédigées. Cette évaluation se fera en temps limité et fera l’objet d’une notation commune.
Centrés sur la littérature et l’histoire de l’art, les enseignements sont organisés de manière à croiser les divers champs de connaissance relatifs aux mondes celtiques, tels que l’histoire de l’art celtique d’Europe continentale (Ve-Ier siècles av. J.-C.), de Grande-Bretagne et d’Irlande (Ve siècle av. J.-C. – Xe siècle ap. J.-C.), la littérature médiévale (XIIe-XIVe siècles) et ses possibles liens avec la culture celtique, les relectures celtisantes des textes médiévaux (XIXe-XXIe siècles), la littérature bretonne et ses rapports avec les autres littératures celtiques (XIVe-XXIe siècles).
Dans le cadre de la pluridisciplinarité de ces enseignements, les Celtes de l’antiquité, les civilisations de langue celtique, les littératures médiévales continentale et insulaire sont analysés dans un cadre chronologique, géographique et conceptuel précis. Les aspects méthodologiques des champs disciplinaires abordés - histoire de l’art et littérature - et les spécificités des différentes périodes - antiquité, Moyen Age, époques moderne et contemporaine - contribuent au développement de l’esprit critique. Les compétences visées sont l’acquisition progressive d’une bonne connaissance des œuvres majeures et des mouvements littéraires et artistiques dont celles-ci sont issues.
Grâce à la mise en commun des méthodes de travail propres à l’histoire de l’art et à la littérature, l’acquisition des connaissances se trouve facilitée par la transversalité des recherches relatives aux mondes celtiques.
L’objectif des cours est de permettre aux étudiants.es qui s’intéressent aux Celtes, quelle que soit leur formation, de développer leur culture générale en analysant textes et images dans leur contexte historique, idéologique, linguistique, culturel.
L’évaluation portera sur l’ensemble du cours et prendra la forme d’un QCM et d’un test de connaissance exigeant des réponses rédigées. Cette évaluation se fera en temps limité et fera l’objet d’une notation commune.
- Profesor: Virginie Defente
- Profesor: Erwan Hupel
- Profesor: Marie Jacob-Yapi
- Profesor: Herve Le Bihan
- Profesor: Fabienne Pomel
- Profesor: Anne Atlan
- Profesor: Melanie Congretel
- Profesor: Simon Dufour
- Profesor: Veronique Van Tilbeurgh
- Profesor: Eric Collias
- Profesor: Simon Dufour
- Profesor: Benoit Feildel
- Profesor: Laurence Le Du
- Profesor: Marie Josephe Menozzi
- Profesor: Beatrice Quenault
- Profesor: Veronique Van Tilbeurgh
UEO L1 Adolescence, corps, violence, adolescence
Semestre 1, “Refus et passages à l’acte à l’adolescence”
Cet enseignement de l’UEO “Adolescence, corps, violence” porte au premier semestre de la Licence 1 sur les différentes formes de refus et de passages à l’acte à l’adolescence, qui impliquent le corps et une certaine violence faite au corps ou faite par le corps.
Le corps n’est pas l’organisme, il relève d’une appropriation subjective qui peut-être plus ou moins problématique selon les configurations cliniques. En particulier à l’adolescence, le statut symbolique du corps est particulièrement mis en évidence dans les conduites de refus et de passage. En effet, la position de l’adolescent, en tant que sujet, peut être comprise comme une position de refus. L’opposition à ce qui est voulu, préconisé, demandé par le monde extérieur (institution familiale, société, discours normatifs) doit en effet être comprise comme la possibilité pour l’adolescent de se différencier. Mais cette affirmation inclut un point de méconnaissance du sujet envers lui-même. Ainsi, la logique de l’acte, ce que veut dire l’acte, n’apparaît que dans un après-coup. Il mobilise nécessairement le corps, dans la mesure où le sujet traduit sa position en acte et donc via le corps. Et d’ailleurs, prendre la parole, en tant qu’adolescent (et à tout âge), pour parler des actes que l’on a posés, parler de la violence que l’on ressent ou que l’on manifeste, nécessite un corps, et en cela le corps est parlant. Dans tous les cas, les tentatives d’individuation à l’adolescence peuvent impliquer des formes de violence dans la mesure où elles opèrent une tentative de séparation, parfois ou justement en l’absence de mots pour le dire. Aussi, il est important de tenir compte du contexte civilisationnel dans lequel on est adolescent, les manifestations de violence pouvant répondre à ce qu’il y a de symptomatique dans le lien social, elles peuvent aussi traduire ce qui ne va pas dans le lien social.
La fonction des marques corporelles, des phénomènes contemporaines (par ex., radicalisation, hikikomori, etc.), de la délinquance ou des prises de risque sexuek, sera l’occasion à partir de ces manifestations d’en étudier la logique à l’adolescence, telle qu’elle implique le corps et sa potentielle violence.
L'ensemble de l'enseignement est constitué de 4 cours dont certains éléments vont arriver progressivement sur cursus
“Prises de risque liées au infections sexuellement transmissibles à l’adolescence” (Pierre BONNY)
“Violence, passage à l’acte et corps à l’adolescence. Prison, radicalisation, hikikomoris” (Giorgia TISCINI)
"Le retrait pathologique à l'adolescence : perspectives cliniques" (Maxime ANNEQUIN)
"La puberté et le corps à l'adolescence" (Lucas DEMAY)
Calendrier de l’enseignement :
10/09 : Pierre BONNY
17/09 : Giorgia TISCINI
24 /09: Pierre BONNY
01/10: Giorgia TISCINI
08/10: Pierre BONNY
15/10 : Giorgia TISCINI
22/10: Maxime ANNEQUIN
05/11 : Maxime ANNEQUIN
12/11 : Lucas DEMAY
19/11:Lucas DEMAY
26/11 :Lucas DEMAY
03/12 : Maxime ANNEQUIN
Les contraintes d’emploi du temps des enseignant.e.s ne permettent malheureusement pas que chacun fasse trois cours successif.
Les cours ne sont pas transmis ici, ils ont lieu en CM.
Le cours du 10/09 sera rattrapé de manière condensée à l’occasion du cours du 24/09.
L'examen est un examen terminal d'1h comportant 4 questions notées chacune sur 5 points, chaque question porte sur un cours. Il convient répondre de manière rédigée, concise et précise aux questions, en mobilisant le cours bien sûr et uniquement le cours. Attention à ne pas faire de hors sujet.
Semestre 1, “Refus et passages à l’acte à l’adolescence”
Cet enseignement de l’UEO “Adolescence, corps, violence” porte au premier semestre de la Licence 1 sur les différentes formes de refus et de passages à l’acte à l’adolescence, qui impliquent le corps et une certaine violence faite au corps ou faite par le corps.
Le corps n’est pas l’organisme, il relève d’une appropriation subjective qui peut-être plus ou moins problématique selon les configurations cliniques. En particulier à l’adolescence, le statut symbolique du corps est particulièrement mis en évidence dans les conduites de refus et de passage. En effet, la position de l’adolescent, en tant que sujet, peut être comprise comme une position de refus. L’opposition à ce qui est voulu, préconisé, demandé par le monde extérieur (institution familiale, société, discours normatifs) doit en effet être comprise comme la possibilité pour l’adolescent de se différencier. Mais cette affirmation inclut un point de méconnaissance du sujet envers lui-même. Ainsi, la logique de l’acte, ce que veut dire l’acte, n’apparaît que dans un après-coup. Il mobilise nécessairement le corps, dans la mesure où le sujet traduit sa position en acte et donc via le corps. Et d’ailleurs, prendre la parole, en tant qu’adolescent (et à tout âge), pour parler des actes que l’on a posés, parler de la violence que l’on ressent ou que l’on manifeste, nécessite un corps, et en cela le corps est parlant. Dans tous les cas, les tentatives d’individuation à l’adolescence peuvent impliquer des formes de violence dans la mesure où elles opèrent une tentative de séparation, parfois ou justement en l’absence de mots pour le dire. Aussi, il est important de tenir compte du contexte civilisationnel dans lequel on est adolescent, les manifestations de violence pouvant répondre à ce qu’il y a de symptomatique dans le lien social, elles peuvent aussi traduire ce qui ne va pas dans le lien social.
La fonction des marques corporelles, des phénomènes contemporaines (par ex., radicalisation, hikikomori, etc.), de la délinquance ou des prises de risque sexuek, sera l’occasion à partir de ces manifestations d’en étudier la logique à l’adolescence, telle qu’elle implique le corps et sa potentielle violence.
L'ensemble de l'enseignement est constitué de 4 cours dont certains éléments vont arriver progressivement sur cursus
“Prises de risque liées au infections sexuellement transmissibles à l’adolescence” (Pierre BONNY)
“Violence, passage à l’acte et corps à l’adolescence. Prison, radicalisation, hikikomoris” (Giorgia TISCINI)
"Le retrait pathologique à l'adolescence : perspectives cliniques" (Maxime ANNEQUIN)
"La puberté et le corps à l'adolescence" (Lucas DEMAY)
Calendrier de l’enseignement :
10/09 : Pierre BONNY
17/09 : Giorgia TISCINI
24 /09: Pierre BONNY
01/10: Giorgia TISCINI
08/10: Pierre BONNY
15/10 : Giorgia TISCINI
22/10: Maxime ANNEQUIN
05/11 : Maxime ANNEQUIN
12/11 : Lucas DEMAY
19/11:Lucas DEMAY
26/11 :Lucas DEMAY
03/12 : Maxime ANNEQUIN
Les contraintes d’emploi du temps des enseignant.e.s ne permettent malheureusement pas que chacun fasse trois cours successif.
Les cours ne sont pas transmis ici, ils ont lieu en CM.
Le cours du 10/09 sera rattrapé de manière condensée à l’occasion du cours du 24/09.
L'examen est un examen terminal d'1h comportant 4 questions notées chacune sur 5 points, chaque question porte sur un cours. Il convient répondre de manière rédigée, concise et précise aux questions, en mobilisant le cours bien sûr et uniquement le cours. Attention à ne pas faire de hors sujet.
- Profesor: Maxime Annequin
- Profesor: Pierre Bonny
- Profesor: Lucas Demay
- Profesor: Giorgia Tiscini
Socialisation de genre, dans la famille, dans les médias
Ce cours dispensé au sein de l'UEO Genre et Société vise à rendre compte des processus sociaux de construction du féminin et du masculin. Après avoir définir le concept de genre, il s'agira d'étudier le processus de socialisation de genre. Nous nous intéresserons en particulier à deux espaces de socialisation : la famille et les médias. Il s’agira de se demander dans quelle mesure la famille et les médias participent de la construction du genre : en quoi ils participent à fabriquer le genre?
Ce cours dispensé au sein de l'UEO Genre et Société vise à rendre compte des processus sociaux de construction du féminin et du masculin. Après avoir définir le concept de genre, il s'agira d'étudier le processus de socialisation de genre. Nous nous intéresserons en particulier à deux espaces de socialisation : la famille et les médias. Il s’agira de se demander dans quelle mesure la famille et les médias participent de la construction du genre : en quoi ils participent à fabriquer le genre?
- Profesor: Barbara Fontar
- Profesor: Aïcha Altiti
- Profesor: Sophie Desire Dit Gosset
- Profesor: Agathe Dirani
- Profesor: Pascal Glemain
- Profesor: Emmanuelle Hamon
- Profesor: Audrey Hurault
- Profesor: Juliette Kervella
- Profesor: Stephane Laurens
- Profesor: Marion Lepinay
- Profesor: Veronique Moussart
- Profesor: Karine Siliec
- Profesor: Julie Zaug
