Généralités sur le cours
Résumé de section
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Déposé le 5 janv. 25, 11:44
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Déposé le 5 janv. 25, 11:48
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Déposé le 13 janv. 25, 17:52
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Déposé le 20 janv. 25, 09:14
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Déposé le 14 févr. 25, 16:30
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Examen du 22 avril (13h15-14h15)
pour les étudiant(e)s assidu(e)s et dispensé(e)s
L’examen se composera de quatre questions portant sur des choses que nous avons vues en cours ou dont je vous ai parlé dans les enregistrements que j’ai déposés sur Cursus. L’examen durant une heure, j’attends de vous que vous répondiez à chaque question en une dizaine de lignes. Chaque question est accompagnée d’une citation. Vous trouverez ces citations ci-dessous. Servez-vous en pour orienter vos révisions.
Citation 1
Nietzsche : « C’est moi qui ai découvert le tragique » (La Volonté de puissance, Livre IV, § 534 [1884-1886]).
Citation 2
Nietzsche : « Les Grecs, parce qu’ils sont véritablement sains, ont une fois pour toutes légitimé la philosophie elle-même du simple fait qu'ils ont philosophé, et bien plus en effet que tous les autres peuples. Ils ont su commencer à temps ; et cet enseignement qui détermine à quel moment il faut commencer à philosopher, ils l'ont prodigué plus clairement qu'aucun autre peuple. Ce n'est pas à vrai dire une fois qu'on est dans le malheur qu'il faut commencer, mais c'est dans le bonheur, en pleine force de l'âge, fort de la bouillonnante allégresse d'une vigoureuse et victorieuse maturité virile. Le fait que ce moment-là ait été celui où les Grecs ont philosophé nous en apprend autant sur ce qu'est la philosophie et ce qu'elle doit être que sur les Grecs eux-mêmes » (La Philosophie à l’âge tragique des Grecs [1873)], § 1).
Citation 3
Nietzsche : « [Le] “dernier mot” ridicule et terrible [de Socrate à Criton (1)] signifie pour qui sait entendre : “Criton, la vie est une maladie !” Est-ce possible, un homme tel que lui, un homme qui avait vécu joyeux et aux yeux de tous, comme un soldat, cet homme était un pessimiste ! » (Le gai savoir [1882], § 340).
(1) Le dernier mot de Socrate dans le Phédon est : « Criton, nous sommes le débiteur d’Asclépios pour un coq ; eh bien, payez ma dette, pensez-y » (118 a). — Asclépios est le dieu grec de la médecine. Époux d’Épione, il est également le père d'Hygie, déesse de la santé, et de Panacée, déesse de la médecine curative.
Citation 4
Nietzsche : « C’est en Socrate lui-même que nous reconnaissons l’adversaire de Dionysos » (La Naissance de la tragédie [1872], § 12).
Déposé le 3 avr. 25, 07:25
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