- Enseignant: Dario Alparone
- Enseignant: Gwenola Druel
- Enseignant: Lyasmine Kessaci
- Enseignant: Giorgia Tiscini
Cet enseignement d’ouverture est proposé par plusieurs enseignants-chercheurs de divers départements de l’université Rennes2, pour croisés leurs « regards » leurs recherches sur la maladie mentale. Si le cours est porté par le département de psychologie et plus particulièrement les enseignants chercheurs du laboratoire RPPsy : Psychopathologie clinique et psychanalyse. Nous avons conçu cet enseignement en étroite collaboration avec des enseignants chercheurs du département d’histoire de l’art et du département de Lettres ; les interventions des uns et des autres courant sur le premier et deuxième semestre, puisque cette UEO est construite sur deux semestres et propose des interventions différentes au S5 et au S6 (autre espace cursus).
Ce cours est utile à tout usage professionnel et personnel quant à la maladie psychique. Il prépare l’étudiant à une analyse de l’usage des signifiants dans son époque, du lien social dans lequel il est, des usages de sa civilisation et de leurs malaises. Entre culture générale et analyse des discours et des pratiques du siècle auquel il participe.
Pour ce premier semestre : cette UEO ouvre une réflexion non seulement sur une approche historique de la maladie psychique (mentale) et des pratiques de soins, sur la psychose sur le lien entre la création littéraire et la mélancolie, le lien entre le maladie psychique dans l’art et la fiction ; mais aussi une initiation aux débats actuels dans le champ du psychique : sur la dépression, sur le didact du sport, la théorie du bonheur et du bien être, sur l'empire des coaches, sur à la maladie psychique .
Ce cours est utile à tout usage professionnel et personnel quant à la maladie psychique. Il prépare l’étudiant à une analyse de l’usage des signifiants dans son époque, du lien social dans lequel il est, des usages de sa civilisation et de leurs malaises. Entre culture générale et analyse des discours et des pratiques du siècle auquel il participe.
Pour ce premier semestre : cette UEO ouvre une réflexion non seulement sur une approche historique de la maladie psychique (mentale) et des pratiques de soins, sur la psychose sur le lien entre la création littéraire et la mélancolie, le lien entre le maladie psychique dans l’art et la fiction ; mais aussi une initiation aux débats actuels dans le champ du psychique : sur la dépression, sur le didact du sport, la théorie du bonheur et du bien être, sur l'empire des coaches, sur à la maladie psychique .
- Enseignant: Alain Abelhauser
- Enseignant: Laetitia Belle
- Enseignant: Pierre Bonny
- Enseignant: Myriam Cherel
- Enseignant: Élise Etchamendy
- Enseignant: Mickael Peoc H
- Enseignant: Francois Tremolieres
- Enseignant: Camille Veit
- Enseignant: Dario Alparone
- Enseignant: David Monnier
- Enseignant: Giorgia Tiscini
- Enseignant: Yohan Trichet
L'UEO est composée de 2 enseignements
- Héros et dieux dans les mondes mondes grecs et romains
- Christianisme et nouveau monde à l'époque par moderne
- Enseignant: Gaëlle Bosseman
- Enseignant: Anne Gangloff
- Enseignant: Solenn Mabo
Ce cours porte sur la nature et le fonctionnement du polythéisme antique, la conception du divin et les relations rituelles entre les hommes et les divinités. On s’interrogera notamment sur une différence essentielle entre les polythéismes grec et romain : la présence des héros dans la religion grecque, leur quasi-absence dans la religion romaine, les Romains ayant fabriqué différemment leurs « héros » ou « grands hommes » qui sont sur ce point les ancêtres des nôtres.
L'évaluation prendra la forme d'un contrôle des connaissances (définitions et questions précises de cours).
La date de l'épreuve (après les vacances de Noël) sera affichée sur l'ENT par le secrétariat.
L'évaluation prendra la forme d'un contrôle des connaissances (définitions et questions précises de cours).
La date de l'épreuve (après les vacances de Noël) sera affichée sur l'ENT par le secrétariat.
- Enseignant: Anne Gangloff
- Enseignant: Lucile Queney
CORPS ET GENRE
À la croisée de la sociologie du genre, du corps, du sport, de la culture, des apparences et de l’éducation, un premier axe explicite les processus d’une construction sociale plurielle des corps. Placer le corps au centre de ce cours sur le genre suppose de démêler la question des fondements biologiques et sociaux à l’origine des rapports de domination entre hommes et femmes. Les jeux de pouvoirs et leurs dissymétries seront mis en lumière dans une dimension à la fois matérielle, symbolique et relationnelle. Un deuxième axe, centré sur l’évolution des normes, des mentalités et des pratiques sexuelles, mobilise des approches disciplinaires croisées (histoire, démographie, droit, sociologie, médecine) pour saisir les politiques sexuelles dans la France des XIXe et XXe siècles.
À la croisée de la sociologie du genre, du corps, du sport, de la culture, des apparences et de l’éducation, un premier axe explicite les processus d’une construction sociale plurielle des corps. Placer le corps au centre de ce cours sur le genre suppose de démêler la question des fondements biologiques et sociaux à l’origine des rapports de domination entre hommes et femmes. Les jeux de pouvoirs et leurs dissymétries seront mis en lumière dans une dimension à la fois matérielle, symbolique et relationnelle. Un deuxième axe, centré sur l’évolution des normes, des mentalités et des pratiques sexuelles, mobilise des approches disciplinaires croisées (histoire, démographie, droit, sociologie, médecine) pour saisir les politiques sexuelles dans la France des XIXe et XXe siècles.
- Enseignant: Fanny Bugnon
- Enseignant: Gaelle Sempe Huard
Cours Laurence Le Dû
Ce cours se situe dans la perspective d'une découverte d'un thème spécialisé dans une perspective pluri-disciplinaire. Il permettra de mener une réflexion sur les rapports entre les sociétés humaines et les animaux.
L'histoire de l’humanité est étroitement imbriquée à l’histoire des animaux, dans leur intimité génétique, leur répartition spatiale, leur impact environnemental, leur devenir. La réflexion proposée s’articule sur des études de cas concrets des entrées historiques, écologiques, économiques, sociales et culturelles, car les études animales au sens large interrogent notre rapport au monde, via l’alimentation et l'élevage en particulier.
L'exemple des abeilles servira de fil conducteur pour explorer ces interactions.
Ce cours se situe dans la perspective d'une découverte d'un thème spécialisé dans une perspective pluri-disciplinaire. Il permettra de mener une réflexion sur les rapports entre les sociétés humaines et les animaux.
L'histoire de l’humanité est étroitement imbriquée à l’histoire des animaux, dans leur intimité génétique, leur répartition spatiale, leur impact environnemental, leur devenir. La réflexion proposée s’articule sur des études de cas concrets des entrées historiques, écologiques, économiques, sociales et culturelles, car les études animales au sens large interrogent notre rapport au monde, via l’alimentation et l'élevage en particulier.
L'exemple des abeilles servira de fil conducteur pour explorer ces interactions.
- Enseignant: Laurence Le Du
Il ne se passe pas un jour sans que soit évoquée la notion d’opinion publique, présentée comme un vis-à-vis permanent des gouvernants. L’objectif de ce cours, proposé conjointement par un politiste et un historien, consiste à montrer aux étudiants comment s’est installée la croyance en l’existence de cette instance de jugement des actes du pouvoir, à quelles instrumentalisations elle peut donner lieu dans la lutte politique et à quelles réalités sociologiques elle peut correspondre. Dans cette première partie du cours, la rupture chronologique proposée par le philosophe Jürgen Habermas sera interrogée : peut-on estimer avec lui que « l’opinion publique » est née seulement dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle pour se déployer dans les siècles suivants ou peut-on trouver dans les époques antérieures, en remontant jusqu’à la démocratie athénienne, des formes de participation de gouvernés au débat politique qui pourraient se rapprocher de ce que nous appelons « l’opinion » ?
- Enseignant: Anthony Hamon
- Enseignant: Pierre Karila-Cohen
Enquêter et expertiser dans le monde contemporain
Que peut-il y avoir de commun entre l’élucidation d’une affaire criminelle, la description d’un phénomène sociologique et la recension de faits dans un pays en guerre ? Dans tous les cas, la connaissance et/ou la recherche de la vérité procède(nt) - ou devrai(en)t procéder - d’un rassemblement de traces et de témoignages qui, ensemble, forment une enquête. Celui ou celle qui la mène peut aisément être qualifié(e) d’expert dans son domaine, ce qui lui assure une autorité spécifique. Le but de ce cours, assuré conjointement par un historien, un(e) politiste et une géographe consiste à s’interroger à la fois sur l’enracinement de ce mode de connaissance et de légitimation dans les sociétés contemporaines, sur les problèmes transversaux de méthodologie que pose le fait d’ambitionner la présentation de vérités sur des faits naturels ou sociaux et sur le statut professionnel, politique et social toujours en question de l’enquêteur/expert. Dans la première partie du cours, on s’intéressera à la floraison des formes de l’enquête (administrative, sociale puis sociologique, policière, journalistique etc.) de la fin du XVIIIe siècle à nos jours. Dans la deuxième partie du cours seront particulièrement développées la méthodologie des enquêtes sociologiques contemporaines. Enfin, on s’interrogera dans une dernière séquence pédagogique sur un cas précis, les modalités contemporaines de l’expertise en géographie et aménagement, qui s’inscrit dans un triptyque reliant trois composantes de l’action sur l’espace : savoir, pouvoir et territoires.
Que peut-il y avoir de commun entre l’élucidation d’une affaire criminelle, la description d’un phénomène sociologique et la recension de faits dans un pays en guerre ? Dans tous les cas, la connaissance et/ou la recherche de la vérité procède(nt) - ou devrai(en)t procéder - d’un rassemblement de traces et de témoignages qui, ensemble, forment une enquête. Celui ou celle qui la mène peut aisément être qualifié(e) d’expert dans son domaine, ce qui lui assure une autorité spécifique. Le but de ce cours, assuré conjointement par un historien, un(e) politiste et une géographe consiste à s’interroger à la fois sur l’enracinement de ce mode de connaissance et de légitimation dans les sociétés contemporaines, sur les problèmes transversaux de méthodologie que pose le fait d’ambitionner la présentation de vérités sur des faits naturels ou sociaux et sur le statut professionnel, politique et social toujours en question de l’enquêteur/expert. Dans la première partie du cours, on s’intéressera à la floraison des formes de l’enquête (administrative, sociale puis sociologique, policière, journalistique etc.) de la fin du XVIIIe siècle à nos jours. Dans la deuxième partie du cours seront particulièrement développées la méthodologie des enquêtes sociologiques contemporaines. Enfin, on s’interrogera dans une dernière séquence pédagogique sur un cas précis, les modalités contemporaines de l’expertise en géographie et aménagement, qui s’inscrit dans un triptyque reliant trois composantes de l’action sur l’espace : savoir, pouvoir et territoires.
- Enseignant: Sarah Gardin
- Enseignant: Anthony Hamon
- Enseignant: Emmanuelle Hellier
- Enseignant: Pierre Karila-Cohen
UEO L3 Corps, violence, adolescence
Semestre 5, Refus et passages à l’acte à l’adolescence
Cet enseignement de l’UEO “Corps, violence, adolescence” porte au premier semestre de la Licence 3 sur les différentes formes de refus et de passages à l’acte à l’adolescence.
Le corps n’est pas l’organisme, il relève d’une appropriation subjective plus ou moins problématique selon les configurations cliniques. En particulier à l’adolescence, le statut symbolique du corps est particulièrement mis en évidence dans les conduites de refus et de passage à l’acte. En effet, la position du sujet doit structurellement être comprise comme une position de refus. L’opposition à ce qui est voulu, préconisé, demandé par le monde extérieur (institution familiale, société, discours normativant) doit en effet être comprise comme la possibilité pour l’adolescent de se différencier. Mais cette affirmation inclut un point de méconnaissance du sujet envers lui-même. Ainsi la logique de l’acte, ce que veut dire l’acte, n’apparaît que dans un après-coup. Il mobilise nécessairement le corps, dans la mesure où le sujet traduit sa position en acte et donc via le corps. Cette manifestation peut impliquer des formes de violence dans la mesure où elle opère une tentative de séparation parfois en l’absence de mots pour le dire.
La fonction des marques corporelles, de la radicalisation, de la délinquance, ou des prises de risque sexuel sera l’occasion à partir de ces manifestations d’en étudier la logique à l’adolescence, telle qu’elle implique le corps et sa potentielle violence.
Pour un panel de cette question, quatre enseignant.e.s en psychopathologie clinique. Les cours de chaque enseignant.e (hormis les deux premiers de JL Gaspard) sont étalés durant le semestre, mais chaque cours a sa propre unité. Il suffit donc de reprendre vos notes relatives à la poursuite du cours des enseignant.e.s.
21/09 : Jean-Luc Gaspard
28/09: Jean-Luc Gaspard
05/10 : Alexandra Escobar
12/10 : Giorgia Tiscini
19/10 : Pierre Bonny
26/10 : Giorgia Tiscini
09/11: Pierre Bonny
16/11 : Alexandra Escobar
23/11 : Pierre Bonny
30/11 : Pierre Bonny
7/12 : Giorgia Tiscini
14/12 : Alexandra Escobar
Titre des cours des intervenants :
Pierre Bonny : “Prises de risque sexuel liées au VIH-Sida à l’adolescence et jeune adulte”
Alexandra Escobar : “Le corps à l’adolescence et ses manifestations symptomatiques”
Jean-Luc Gaspard : “Marques corporelles et trauma”
Giorgia Tiscini : “Violence, passage à l’acte et corps à l’adolescence. Prison, radicalisation, hikikomoris”
Semestre 5, Refus et passages à l’acte à l’adolescence
Cet enseignement de l’UEO “Corps, violence, adolescence” porte au premier semestre de la Licence 3 sur les différentes formes de refus et de passages à l’acte à l’adolescence.
Le corps n’est pas l’organisme, il relève d’une appropriation subjective plus ou moins problématique selon les configurations cliniques. En particulier à l’adolescence, le statut symbolique du corps est particulièrement mis en évidence dans les conduites de refus et de passage à l’acte. En effet, la position du sujet doit structurellement être comprise comme une position de refus. L’opposition à ce qui est voulu, préconisé, demandé par le monde extérieur (institution familiale, société, discours normativant) doit en effet être comprise comme la possibilité pour l’adolescent de se différencier. Mais cette affirmation inclut un point de méconnaissance du sujet envers lui-même. Ainsi la logique de l’acte, ce que veut dire l’acte, n’apparaît que dans un après-coup. Il mobilise nécessairement le corps, dans la mesure où le sujet traduit sa position en acte et donc via le corps. Cette manifestation peut impliquer des formes de violence dans la mesure où elle opère une tentative de séparation parfois en l’absence de mots pour le dire.
La fonction des marques corporelles, de la radicalisation, de la délinquance, ou des prises de risque sexuel sera l’occasion à partir de ces manifestations d’en étudier la logique à l’adolescence, telle qu’elle implique le corps et sa potentielle violence.
Pour un panel de cette question, quatre enseignant.e.s en psychopathologie clinique. Les cours de chaque enseignant.e (hormis les deux premiers de JL Gaspard) sont étalés durant le semestre, mais chaque cours a sa propre unité. Il suffit donc de reprendre vos notes relatives à la poursuite du cours des enseignant.e.s.
21/09 : Jean-Luc Gaspard
28/09: Jean-Luc Gaspard
05/10 : Alexandra Escobar
12/10 : Giorgia Tiscini
19/10 : Pierre Bonny
26/10 : Giorgia Tiscini
09/11: Pierre Bonny
16/11 : Alexandra Escobar
23/11 : Pierre Bonny
30/11 : Pierre Bonny
7/12 : Giorgia Tiscini
14/12 : Alexandra Escobar
Titre des cours des intervenants :
Pierre Bonny : “Prises de risque sexuel liées au VIH-Sida à l’adolescence et jeune adulte”
Alexandra Escobar : “Le corps à l’adolescence et ses manifestations symptomatiques”
Jean-Luc Gaspard : “Marques corporelles et trauma”
Giorgia Tiscini : “Violence, passage à l’acte et corps à l’adolescence. Prison, radicalisation, hikikomoris”
- Enseignant: Pierre Bonny
- Enseignant: Lyasmine Kessaci
- Enseignant: Giorgia Tiscini
« Afrique ». Des forêts vierges, des montagnes majestueuses entourées de savane, des oasis luxuriantes, des plaines désertiques évoluant au rythme de la vie animale, des lions, des éléphants, des girafes et des rhinocéros qui règnent en maîtres sur la nature, loin de la civilisation. Nous avons tous ces images en tête. Il s’en dégage un sentiment d’éternité, une émotion rassurante face aux dégâts que cause partout ailleurs la modernité, la « nôtre ».
Mais cette Afrique n’existe pas. Elle n’a jamais existé et le problème, c’est que nous sommes convaincus du contraire. Plus la nature disparaît en Occident et plus nous la fantasmons en Afrique, comme en Asie. Plus nous détruisons la nature ici, et plus nous essayons de la sauver là-bas. Avec l’Unesco, le WWF (World Wildlife Fund) ou l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), nous croyons protéger les dernières traces d’un monde autrefois vierge et sauvage, en Afrique, en Asie et en Amérique latine. Mais en réalité, ces institutions organisent la naturalisation à marche forcée de toute une partie du monde : mettre des territoires en parc, y interdire l’agriculture, exclure les hommes, faire disparaître leurs champs et leurs pâturages pour créer un monde soi-disant naturel, où l’homme n’est pas.
Or, ce combat ne change absolument rien à la destruction de la biodiversité. Pire, ses effets sont désastreux pour tous les occupants de la nature. Déplacements forcés, amendes, peines de prison, déstructuration sociale, passages à tabac, parfois viols et même meurtres, telles sont les conséquences catastrophiques des politiques globales de protection de la nature.
En décryptant les mécanismes de ce colonialisme vert, ce cours vise alors trois objectifs :
• Acquérir des connaissances (inter)disciplinaires : (histoire) comprendre que l’idée de nature est le produit de temps qui s’accumulent ; (géographie) envisager la nature comme une ressource, une représentation et un territoire de projet ; (science politique) appréhender les échelles locales, nationales et internationales des politiques globales ; (anthropologie) saisir au ras du sol les rapports sociaux à la nature ; (sociologie) éclairer le rôle des institutions internationales et de leurs experts.
• Développer des compétences : un travail sur article pour maîtriser l’anglais et mieux synthétiser ses connaissances à l’écrit ; un travail de groupe pour parfaire la restitution écrite et orale de savoirs empiriques et la mise en pratique écrite et orale d’acquis théoriques.
• Améliorer les chances de réussite en master : avec une réelle connaissance de territoires africains et asiatiques, et une capacité à appréhender socialement la crise écologique actuelle et sa (non-)résolution, les étudiant.e.s renforceront leur capacité à intégrer des Masters recherche (sur l’Afrique ou l’Asie) et professionnels (sur la Coopération internationale, le Développement, l’Environnement ou les Sciences politiques internationales).
Mais cette Afrique n’existe pas. Elle n’a jamais existé et le problème, c’est que nous sommes convaincus du contraire. Plus la nature disparaît en Occident et plus nous la fantasmons en Afrique, comme en Asie. Plus nous détruisons la nature ici, et plus nous essayons de la sauver là-bas. Avec l’Unesco, le WWF (World Wildlife Fund) ou l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), nous croyons protéger les dernières traces d’un monde autrefois vierge et sauvage, en Afrique, en Asie et en Amérique latine. Mais en réalité, ces institutions organisent la naturalisation à marche forcée de toute une partie du monde : mettre des territoires en parc, y interdire l’agriculture, exclure les hommes, faire disparaître leurs champs et leurs pâturages pour créer un monde soi-disant naturel, où l’homme n’est pas.
Or, ce combat ne change absolument rien à la destruction de la biodiversité. Pire, ses effets sont désastreux pour tous les occupants de la nature. Déplacements forcés, amendes, peines de prison, déstructuration sociale, passages à tabac, parfois viols et même meurtres, telles sont les conséquences catastrophiques des politiques globales de protection de la nature.
En décryptant les mécanismes de ce colonialisme vert, ce cours vise alors trois objectifs :
• Acquérir des connaissances (inter)disciplinaires : (histoire) comprendre que l’idée de nature est le produit de temps qui s’accumulent ; (géographie) envisager la nature comme une ressource, une représentation et un territoire de projet ; (science politique) appréhender les échelles locales, nationales et internationales des politiques globales ; (anthropologie) saisir au ras du sol les rapports sociaux à la nature ; (sociologie) éclairer le rôle des institutions internationales et de leurs experts.
• Développer des compétences : un travail sur article pour maîtriser l’anglais et mieux synthétiser ses connaissances à l’écrit ; un travail de groupe pour parfaire la restitution écrite et orale de savoirs empiriques et la mise en pratique écrite et orale d’acquis théoriques.
• Améliorer les chances de réussite en master : avec une réelle connaissance de territoires africains et asiatiques, et une capacité à appréhender socialement la crise écologique actuelle et sa (non-)résolution, les étudiant.e.s renforceront leur capacité à intégrer des Masters recherche (sur l’Afrique ou l’Asie) et professionnels (sur la Coopération internationale, le Développement, l’Environnement ou les Sciences politiques internationales).
- Enseignant: Guillaume Blanc
- Enseignant: Johan Oszwald
- Enseignant: Eva Guillorel
Description du cours et objectifs :
Centrés sur la littérature et l’histoire de l’art, les enseignements sont organisés de manière à croiser les divers champs de connaissance relatifs aux mondes celtiques, tels que l’histoire de l’art celtique d’Europe continentale (Ve-Ier siècles av. J.-C.), de Grande-Bretagne et d’Irlande (Ve siècle av. J.-C. – Xe siècle ap. J.-C.), la littérature médiévale (XIIe-XIVe siècles) et ses possibles liens avec la culture celtique, les relectures celtisantes des textes médiévaux (XIXe-XXIe siècles), la littérature bretonne et ses rapports avec les autres littératures celtiques (XIVe-XXIe siècles).
Dans le cadre de la pluridisciplinarité de ces enseignements, les Celtes de l’antiquité, les civilisations de langue celtique, les littératures médiévales continentale et insulaire sont analysés dans un cadre chronologique, géographique et conceptuel précis. Les aspects méthodologiques des champs disciplinaires abordés - histoire de l’art et littérature - et les spécificités des différentes périodes - antiquité, Moyen Age, époques moderne et contemporaine - contribuent au développement de l’esprit critique. Les compétences visées sont l’acquisition progressive d’une bonne connaissance des œuvres majeures et des mouvements littéraires et artistiques dont celles-ci sont issues.
Grâce à la mise en commun des méthodes de travail propres à l’histoire de l’art et à la littérature, l’acquisition des connaissances se trouve facilitée par la transversalité des recherches relatives aux mondes celtiques.
L’objectif des cours est de permettre aux étudiants.es qui s’intéressent aux Celtes, quelle que soit leur formation, de développer leur culture générale en analysant textes et images dans leur contexte historique, idéologique, linguistique, culturel.
L’évaluation portera sur l’ensemble du cours et prendra la forme d’un QCM et d’un test de connaissance exigeant des réponses rédigées. Cette évaluation se fera en temps limité et fera l’objet d’une notation commune.
Centrés sur la littérature et l’histoire de l’art, les enseignements sont organisés de manière à croiser les divers champs de connaissance relatifs aux mondes celtiques, tels que l’histoire de l’art celtique d’Europe continentale (Ve-Ier siècles av. J.-C.), de Grande-Bretagne et d’Irlande (Ve siècle av. J.-C. – Xe siècle ap. J.-C.), la littérature médiévale (XIIe-XIVe siècles) et ses possibles liens avec la culture celtique, les relectures celtisantes des textes médiévaux (XIXe-XXIe siècles), la littérature bretonne et ses rapports avec les autres littératures celtiques (XIVe-XXIe siècles).
Dans le cadre de la pluridisciplinarité de ces enseignements, les Celtes de l’antiquité, les civilisations de langue celtique, les littératures médiévales continentale et insulaire sont analysés dans un cadre chronologique, géographique et conceptuel précis. Les aspects méthodologiques des champs disciplinaires abordés - histoire de l’art et littérature - et les spécificités des différentes périodes - antiquité, Moyen Age, époques moderne et contemporaine - contribuent au développement de l’esprit critique. Les compétences visées sont l’acquisition progressive d’une bonne connaissance des œuvres majeures et des mouvements littéraires et artistiques dont celles-ci sont issues.
Grâce à la mise en commun des méthodes de travail propres à l’histoire de l’art et à la littérature, l’acquisition des connaissances se trouve facilitée par la transversalité des recherches relatives aux mondes celtiques.
L’objectif des cours est de permettre aux étudiants.es qui s’intéressent aux Celtes, quelle que soit leur formation, de développer leur culture générale en analysant textes et images dans leur contexte historique, idéologique, linguistique, culturel.
L’évaluation portera sur l’ensemble du cours et prendra la forme d’un QCM et d’un test de connaissance exigeant des réponses rédigées. Cette évaluation se fera en temps limité et fera l’objet d’une notation commune.
- Enseignant: Virginie Defente
- Enseignant: Erwan Hupel
- Enseignant: Marie Jacob-Yapi
- Enseignant: Herve Le Bihan
- Enseignant: Joanna Pavlevski-Malingre
- Enseignant: Melanie Congretel
- Enseignant: Simon Dufour
- Enseignant: Veronique Van Tilbeurgh
- Enseignant: Simon Dufour
- Enseignant: Laurence Le Du
- Enseignant: Marie Josephe Menozzi
- Enseignant: Veronique Van Tilbeurgh
"Environnement, nature et paysage" est une UE thématique à visée internationale, interculturelle et interdisciplinaire. Elle recouvre plusieurs aires géographiques, de la France au Québec ou au Liban, en passant par l’Allemagne impériale, la Tchécoslovaquie et l’Espagne. Elle comporte deux UE. Le bases autour des concepts d’environnement et de territoire sont posées dans le premier cours (S5) à partir des études en Géographie environnementale. Ces concepts sont, par la suite, déclinés selon les perspectives afférentes aux représentations et à la symbolique, dont le territoire s’enrichit par la construction des paysages poétiques intimes et multiculturels (Liban, Québec, Suisse, Bretagne...). Enfin, si nous construisons nos paysages à partir de nos territoires, serait-il loisible d’ignorer les femmes et les hommes qui les habitent et les façonnent ? Les usages patriotiques et idylliques de l’espace naturel, illustrés par l’étude de cas, en Allemagne, permettront de découvrir d’autres facettes dans cette traversée également sociohistorique, ethnographique et mémorielle.
La dimension internationale, du point de vue linguistique, de cette UEO sera mise à l’honneur dans le second cours (UE6). Il viendra compléter ces traversées de l’espace par le biais de la culture, de la littérature ou de la communication dans l’Espagne contemporaine, puis, dans un futur proche, par le biais de l’anticipation et les environnements fantastiques qui sont aujourd’hui rêvés.
La dimension internationale, du point de vue linguistique, de cette UEO sera mise à l’honneur dans le second cours (UE6). Il viendra compléter ces traversées de l’espace par le biais de la culture, de la littérature ou de la communication dans l’Espagne contemporaine, puis, dans un futur proche, par le biais de l’anticipation et les environnements fantastiques qui sont aujourd’hui rêvés.
- Enseignant: Nathalie Brillant Rannou
- Enseignant: Simon Dufour
- Enseignant: Laurence Le Du
- Enseignant: Isabelle Ruiz
- Enseignant: Catherine Sablonniere
- Enseignant: Dolores Thion
- Enseignant: Laetitia Belle
- Enseignant: Simon Daniellou
- Enseignant: Camille Veit